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SOUS LES JUPES DES FILLES, BANDE-ANNONCE ! Paris, le printemps, 11 femmes... et leurs jupes !



Après avoir exploré toutes les facettes de la femme moderne dans Sous les jupes des filles, et s'être imaginée dans la peau du sexe opposé dans Si j'étais un homme, Audrey Dana reste focalisée sur l'exploration de l'être humain. Cette fois-ci, la réalisatrice française se concentre sur les hommes qui vont mal. Comme le titre du film l'indique, des Hommes au bord de la crise de nerfs.


Au fond du trou, ces hommes, âgés de 17 à 70 ans, se retrouvent pour une thérapie sauvage en pleine nature. Loin de leur quotidien familial, de leur solitude, et de leur routine, ils ont un but : aller mieux. Mais pour eux, quatre jours isolés en pleine montagne deviennent un long séjour désastreux. Leur coach de vie les reprend alors en main pour qu'ils croquent la vie à pleines dents.




quot;SOUS LES JUPES DES FILLES quot;, BANDE-ANNONCE !




En 2014, pour le film Sous les jupes des filles, Audrey Dana réunissait un casting féminin très prestigieux. De Vanessa Paradis à Isabelle Adjani, en passant par Laetitia Casta. Il fallait donc qu'elle retrouve des figures masculines qui se complètent à merveille pour Hommes au bord de la crise de nerfs, son troisième long-métrage. C'est chose faite.


Autres films cités en exemple : "Hippocrate" de Thomas Lilti avec Vincent Lacoste et Reda Kateb (913.000 entrées pour 3,8 millions de budget), "Les Combattants" de Thomas Cailley avec Adèle Haenel (393.000 entrées pour 2,4 millions d'euros de budget), "Sous les jupes des filles" d'Audrey Dana (1,39 million d'entrées pour 6,8 millions d'euros), "La chambre bleue" de Mathieu Amalric (154.000 entrées pour un million d'euros de budget) ou le documentaire "La cour de Babel" avec une rentabilité de 530% !


Les produits pour l'autonomie se retrouvent dans de nombreuses gammes qui concernent le logement. Nous sélectionnons des objets astucieux spécifiquement conçus pour les seniors, des petites aides techniques qui aident à la vie quotidienne. Tous ces objets d'assistance permettent des rester vivre chez soi le mieux et le plus longtemps possible. Ces sont des produits qui rendent de nombreux services pour aider à préparer les repas, de l'équipement de salle de bain ou des téléphones avec appel d'urgence vers les proches.


Facilavi propose également des produits pour les personnes dépendantes, en cas de grande difficulté physique ou de maladie d'Alzheimer. Il s'agit, par exemple, de vêtements pour personnes dépendantes, qui simplifient également le quotidien des aidants que ce soit dans le cadre du maintien à domicile, en institution, en EHPAD. Il peut également s'agir d'aide-mémoire ou d'horloge calendrier.


Demain, il faudra se passer de son quotidien préféré au moment de déguster son café matinal. Ce jeudi 5 juillet, en effet, le syndicat CGT Flipac a appelé à la grève, empêchant ainsi la parution des quotidiens nationaux et régionaux. Un mouvement en réaction aux difficultés que travsersent actuellement de nombreux journaux quotidiens à travers la France, et qui se traduisent de plus en plus souvent par des licenciements.C'est particulièrement le cas des journaux du groupe Hersant, Paris-Normandie à Rouen, L'Union à Reims, L'Est-Eclair à Troyes ou encore L'Aisne Nouvelle à Saint-Quentin. Embourbés dans une situation économique très délicate depuis quelques années, plombés par une dette importante et voyant leurs ventes baisser régulièrement, ces journaux sont désormais au bord de la cessation de paiement. La semaine dernière, le projet de reprise des quotidiens du groupe Hersant par le Groupe Rossel, propriétaire notamment de La Voix du Nord ou du Courrier Picard, est tombé à l'eau, les négociations entre ce dernier et les réprésentants des syndicats n'ayant pas pu aboutir.Au total, ce sont 630 salariés qui sont aujourd'hui directement menacés par la situation économique de ces journaux.Plus globalement, la presse écrite traverse depuis plusieurs années une importante crise qui semble s'aggraver encore ces derniers mois. Selon la CGT, plus de 2 000 suppressions de poste sont envisagés dans la presse écrites dans les prochains mois : " la non parution des journaux le 5 juillet exprimera à la veille du sommet social nos revendications à un patronnat s'estimant tout-puissant et à un gouvernement qui tarde à utiliser la puissance publique pour dénouer la crise ".Du côté du Syndicat de la Presse Quotidienne, un communiqué qualifie cette grève de " prise d'otage " : " l'attitude de blocage de quelques-uns entrave systématiquement les chances de développement et de succès de la presse. Au lieu de défendre l'emploi, ces coups de force le fragilisent. Ils ne visent en aucun cas à instaurer un dialogue social: depuis 2004, les éditeurs de Presse quotidienne nationale et leurs partenaires sociaux n'ont-ils pas en effet signé 26 accords collectifs, dans les domaines essentiels des salaires, de l'emploi, de la formation, de la protection sociale, de la retraite ? "


Au beau milieu des flux Instagram policés, Caroline Nasica est arrivée façon poil à gratter avec ses bulles en noir et blanc. Avec Caro et les zinzins (@zinzin_nsc), la dessinatrice voulait croquer des moments de son quotidien ou faire des bonds dans le temps. Histoire de les partager avec sa famille et ses proches.


Le quotidien de différentes femmes dans un monde d'hommes qui doivent être à la fois épouses, mères, amantes et modèles au travail. Entre Rose qui a réussi sa vie professionnelle mais qui n'a pas d'amie, Ysis qui décide d'abandonner sa famille pour vivre une relation homosexuelle, Agathe qui a des problèmes avec les hommes, Inès qui cherche à rebondir après l'infidélité de son mari, Fanny qui a soudainement la libido dans le tapis, Lili qui est incapable de concevoir que sa fille a une vie sexuelle, la quête du bonheur est parsemée d'obstacles, de mensonges et de pulsions. 2ff7e9595c


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